Il m’a fallut être emmener vers, doucement, à travers les affres de la création, à travers une quête poétique, un retour sur une saveur, un goût que les souvenirs nourrissent. Il m’a fallut un ami qui a su me faire voir la viande de cheval autrement. Ce n’est pas qu’une « saloperia » comme le disait sa mère, c’est l’aliment qui mérite un vrai roadmovie. Je ne dirais qu’une chose ; foncez au galop jusqu’à votre librairie préférée, procurez vous cet opuscule et dévorez sans attendre cette oeuvre poétique au goût fort et puissant.
Bravo Dorian ! Tu peux continuer à me faire des infidélités d’écriture pour écrire ce genre de petits bijoux.
Je n’ai pas à me forcer pour manger du cheval car j’aime ça….et je n’aurai pas non plus à me forcer pour lire ce livre!….vite à la librairie!….